Interview de Serge Bagdassarian

Interview du 5 octobre 2016
Au sujet de son Interlope (cabaret) – création septembre 2016 au Studio-Théâtre de la Comédie-Française

“Je suis toujours interpellé par le travestissement. Quelle aventure, quel voyage que d’aller d’un sexe à l’autre, d’un pôle de l’humanité à l’autre.”

Serge Bagdassarian, 521è sociétaire de la Comédie-Française n’en est pas à son premier cabaret au sein de la maison de Molière.
L’une des plus belles voix de la troupe débute cette aventure musicale l’année même de son entrée (2007) avec les cabarets Comédie-Française qui s’installent au Studio-Théâtre. D’autres suivront : les cabarets mis en scène par Philippe Meyer (Chansons des jours avec et chansons des jours sans, Chansons déconseillées) ou par d’autres sociétaires (le cabaret Georges Brassens de Thierry Hancisse, le cabaret Léo Ferré de Claude Mathieu). En 2013, Serge Bagdassarian met lui-même en scène un fantastique cabaret Boris Vian… Pour lancer la saison 2016/2017 du Studio-Théâtre, Eric Ruf lui a demandé de monter un spectacle autour des cabarets transformistes de l’entre-deux guerres. Serge a choisi ses interprètes par rapport à l’histoire qu’il voulait raconter. Ses excellents partenaires – Véronique Vella, Michel Favory et Benjamin Lavernhe – et lui-même représentent quatre univers, quatre générations, quatre histoires auxquelles on s’attache forcément.
Et finalement, plus que d’homosexualité, plus que de transformisme, Serge Bagdassarian nous parle… d’amour !

 

 

 

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