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Poésie de Fabrice Luchini, la carte du temps, 24h de la vie d’une femme et Murmure des murs

Revue de presse du 6 mai 2015

 

 

1. La Carte du Temps, une comédie dramatique de Naomi Wallace au Théâtre 13 :

– “En trois mouvements symboliques, Naomi Wallace s’empare du conflit israélo-palestinien.” – Froggy’s Delight

– “Voilà encore un spectacle qui avait connu un franc succès dans le Off d’Avignon, en 2013.” – Marianne

– “Tout cela est très lourd, très démonstratif, très schématique.” – Le Figaro

 

2. Clémentine Célarié incarne l’une des plus connues des nouvelles de Stefan Zweig :

– “C’est un monologue, porté à bout de bras par une Clémentine Célarié émouvante, digne, très juste.” – Le Parisien

– “Rencontre avec la comédienne Clémentine Célarié.” – BFMTV

 

3. Aurélia Thierrée murmure aux murs du Rond-Point :

– “Danseuse, interprète, égérie du band londonien excentrique des Tiger Lillies, Aurélia Thierrée invente, visite et expose son monde, bestiaire fou ou cauchemar joyeux.” – France TV Info

– “Bienvenus dans le monde poétique de Victoria Thierrée-Chaplin qui fait s’échapper Aurélia dans une Venise déserte.” – Sortir à Paris

 – “Pas de parole, mais c’est bien du théâtre. Un grand théâtre des sortilèges avec danse, jeu expressif. Quelque chose d’un mimodrame poétique.” – Le Figaro

 

4. Le théâtre des Mathurins affiche déjà complet, en attendant la reprise en septembre de Poésie de Fabrice Luchini :

– “À part Fabrice Luchini, qui serait capable de remplir à ras bord le Théâtre des Mathurins, avec un spectacle intitulé Poésie ? – Le Parisien

– “C’est cela que l’on aime et que l’on vient chercher : le commentaire luchinien après la récitation luchinienne.” – Le Point

– “Avec Poésie?, le comédien convoque Paul Valéry, Rimbaud, Flaubert et les autres aux Mathurins, à Paris.” – Le Figaro

– “En 2015, on se presse donc, on se bouscule encore pour aller écouter un homme qui, seul en scène, en appelle à Paul Valéry, déclame du Rimbaud et du Baudelaire, cite Gaëtan Picon, paie sa dette à Jouvet, Bouquet et Terzieff.” – L’Obs

 

 

Orlando d’Olivier Py, Innocence de Dea Loher et Hinkemann d’Ernst Toller

Revue de presse du 1er avril 2015

 

© C. Raynaud de Lage

1. Le spectacle “Orlando ou l’impatience” d’Olivier Py créé à Avignon – actuellement en tournée – arrive bientôt à Paris :

– “Loin d’être dupe de sa propre folie, Olivier Py offre à son public quelques répliques cinglantes bourrées d’auto-dérision, une qualité sans borne.” – Time Out

– “Baroque, fou, bien trop long, bien trop bavard, avec de grands élans mystiques à la Paul Claudel, et une écriture emportée et emphatique, entre d’hilarantes scènes comiques.” – Telerama

– “Un texte d’une telle force ne pouvait être porté que par des comédiens d’exception, et il en est qui mériteraient des brassées de roses à chaque représentation.” – Les Trois Coups

– “Malgré ses longueurs, cet autoportrait fragmenté, ou confessions d’un enfant du siècle, mérite la patience qu’il exige et la transforme en plaisir rare.” – L’Express

 

2. L’entrée au répertoire de Léa Doher à la Comédie-Française, un succès :

– “Quand les comédiens du Français sont associés à un metteur en scène d’une telle envergure, on est proche de l’enchantement.” – Marianne

– “Il y a une matière romanesque dans la pièce, comme dans toutes celles de Dea Loher. Il y a un matériau politique très actif aussi.” – Le Figaro

 – “C’est une mise en scène ambitieuse et exigeante que signe Denis Marleau, invité pour la deuxième fois par le Français.” – La Presse

 

3. Stanislas Nordey incarne “Hinkemann” au Théâtre de la Colline :

– “Christine Letailleur a eu l’idée gonflée de monter ce texte méconnu – entre fable socialo-nihiliste et brûlot pacifiste, mâtiné d’une bonne dose de freudisme.” – Les Echos

– “La force de la pièce est d’abord dans sa langue, simple et cinglante, imagée mais nullement fleurie, une langue admirablement servie par les acteurs, comme toujours chez Letailleur, âprement et amoureusement dirigés.” – Mediapart

– “ Stanislas Nordey, metteur en scène et directeur de Théâtre National de Strasbourg est de ces comédiens dont la voix résonne. Elle sort du ventre, et hypnotise.” – Sortir à Paris