“Ancien Malade des hôpitaux de Paris” à l’Atelier, “La Révolte” aux Bouffes du Nord, “Les Inquiets et les Brutes” au Lucernaire et “Don Juan revient de guerre” à l’Athénée
Revue de presse du 15 avril 2015
1. Olivier Saladin dans un Seul en scène d’après le récit de Daniel Pennac :
– “Olivier Saladin excelle à donner vie à tous les personnages hauts en couleur qui se croisent dans l’hôpital. Il donne de la chair à chacun, sans composer lourdement.” – Le Figaro
– “Telle une maladie nosocomiale, le rire insufflé par Daniel Pennac et porté par Olivier Saladin se transmet en une soirée le long de chacune des rangées du théâtre.” – Froggy’s Delight
– “Olivier Saladin s’empare avec brio de ce conte médical délirant, véritable course- poursuite burlesque, truffée de péripéties, dans les différents services d’un hôpital.” – Artistik Rezo
2. Anouk Grinberg et Hervé Briaux dans une sombre mise en scène de Marc Paquien :
– “Marc Paquien installe une atmosphère cauchemardesque, un territoire d’ombres animé par les fantastiques lumières de Dominique Bruguière (…) Un grand moment de théâtre abstrait.” – Les Echos
– “La mise en scène dépouillée de Marc Paquien – un bureau, quelques fauteuils, un grand rideau drapé en fond de scène – habillée des belles lumières de Dominique Bruguière, laisse toute sa place au texte et aux acteurs.” – Le Parisien
– “Dans le rôle écrasant d’Élisabeth, Anouk Grinberg est à son meilleur. Elle enchaîne les reproches et les espérances, frôle le triomphe, esquive la défaite et crée un personnage de femme au charisme étonnant.“- Froggy’s Delight
– “La forme aussi innove ici, comme le souligne une mise en scène tout ensemble sobre et étrangement opératique.” – Telerama
3. Pour la première fois en France, une pièce de l’allemand Nis-Momme Stockmann :
– “Une comédie noire qui bascule en long voyage dans la nuit, par Nis-Momme Stockmann, pour la première fois traduit et mis en scène en France.” – Artistik Rezo
– “Les inquiets et les brutes réussit à aborder des thèmes difficiles comme les conflits de loyauté dans la famille et l’incapacité de faire face à la mort le moment venu.” – Goethe Institut
– “Faire connaître et découvrir un auteur allemand en France est le point de départ de cette mise en scène par Olivier Martinaud.” – Les Inrocks
4. Une mise en scène élégante du Don Juan revient de guerre d’Odon Von Horvàth :
– “Le travail d’Osinski est rigoureux, intelligent. On reprochera juste à sa mise en scène un manque de rythme.” – Les Echos
– “Cette partition pour Don Juan et 35 femmes présente une structure atypique car composée de micro scènes, de surcroît ambivalentes, qui signifient l’état du monde de l’époque sous forme de miniatures acerbes.” – Froggy’s Delight
– “Habitué du théâtre de Horvath, Jacques Osinski déroule, d’une main aussi légère que ferme, le fil de cette errance d’un homme que la guerre avait rendu meilleur.” – La Croix