Articles

NoemieCaillault

Interview de Noémie Caillault

Interview de Noémie Caillault – 9 octobre 2015
Actuellement à l’affiche du Petit Saint-Martin pour la reprise de son spectacle Maligne  

Rencontre avec Noémie Caillault, une fille pleine d’énergie qui a choisi, pour mieux la vaincre, de combattre sa maladie sur les planches…

Lorsqu’elle faisait des rêves de scène, Noémie Caillault ne pouvait imaginer de quelle manière ils se concrétiseraient… Jamais elle n’aurait pu prévoir que sa carrière de comédienne aurait pour point de départ une boule de 6 centimètres dans son sein droit. C’est pourtant bien cette tumeur qui a fait accélérer le tempo. Une tumeur qu’elle choisit de combattre sur scène. Et dans ce combat, la plus maligne n’est pas forcément celle qu’on croit, celle qu’on craint…

Revue de presse du 28 octobre 2015 : Home, Maligne, 30/40 Livingstone et Une vie sur mesure

 

1. Au Théâtre de l’Oeuvre, Frédéric Franck poursuit sa saison avec “Home” de David Storey, mis en scène par Gérard Desarthe :

– “Carole Bouquet et Pierre Palmade incarnent les âmes en souffrance créées par David Storey en 1970. Une folle mise en scène de Gérard Desarthe.“- Le Figaro

– “Pendant 1 h 30, on a vu certes du beau jeu. Mais au-delà de la représentation de la détresse humaine, il manque à « Home » des enjeux, un propos, pour nous toucher vraiment.– Les Echos

– “Cette pièce, c’est du boulevard anglais, analyse Gérad Desarthe le metteur en scène qui s’empresse de préciser : le boulevard anglais c’est pas le boulevard français… On rit beaucoup mais on est aussi touché car ce sont des humains qui sont là dessous.” – France TV Info

– Interview de Gérard Desarthe pour la Terrasse

– Interview de Carole Bouquet pour Telerama

 

2. Au Théâtre du Petit Saint-Martin, Noémie Caillault reprend son si touchant spectacle, Maligne :

– “Si vous aimez le tragi-comique qui refuse de se prendre au sérieux,  allez découvrir cet ovni qu’est Maligne de Noémie Caillault.– LeMonde.blogs

– “Lorsqu’elle apprend, à 27 ans, qu’elle est atteinte d’un cancer du sein, la jeune comédienne puise dans sa lutte l’inspiration et l’énergie pour mettre en scène son histoire.” – Aufeminin.com

– “Elle était comédienne, mais elle n’aurait jamais pensé monter seule sur scène avec son propre spectacle. C’est la maladie qui lui a donné cette force.“- France TV Info

– “Maligne est son premier seule en scène et pas son dernier, on peut déjà en prendre le pari.” – Froggy’s Delight

 

3. A la Pepinière Théâtre, reprise du spectacle “30/40 Livingstone” qui a marqué l’édition 2014 du “off” d’Avignon :

– “30/40 Livingstone, un titre mystérieux pour une vraie pépite de théâtre. La fantaisie écrite et interprétée par Sergi López et Jorge Picó avait d’ailleurs eu un succès amplement mérité à Avignon en 2014.– Reg’Arts

– “L’acteur catalan préféré du cinéma français et le comédien et metteur en scène valencien livrent un réjouissant face-à-face entre un homme mal dans sa peau parce qu’en mal d’aventure (Sergi Lopez) et une créature à tête de cerf, muette, craintive et joueuse de (Jorge Pico)” – Le Monde

– “Tout est possible avec Sergi Lopez et son complice Jorge Pico, qui font de cette rencontre surréaliste un spectacle étonnant, totalement loufoque, absurde, avec des scènes désopilantes.“- Le JDD

– “Vêtu comme un tennisman des années 1930, véritable boule d’énergie jouant de sa panse dodue, Sergi Lopezz campe parfaitement un personnage faussement rabelaisien dont le délire induit une inquiétante étrangeté.– Froggy’s Delight

 

4. Autre reprise d’un succès off d’Avignon, “Une vie sur mesure” au Théâtre Tristan Bernard, un spectacle qui donne la pêche :

– “Après cinq années de succès à Paris et au festival d’Avignon, l’excellent spectacle “Une vie sur mesure” est joué sur la scène du théâtre Tristan Bernard jusqu’au 19 décembre 2015. Cédric Chapuis y interprète l’histoire d’un jeune homme naïf passionné de batterie : une merveille !”- Sortiraparis.com

– “C’est Cédric Chapuis, machiavéliquement désinvolte, fou d’adresse et de séduction, qui emmène l’innocent spectateur dans sa folie primitive, son autisme rythmé, sa jungle à écouter sur l’oreiller.– Froggy’s Delight

– “Mélange de Forrest Gump et de Billy Elliot, il est doué non seulement pour nous faire vivre en direct toutes les subtilités de son instrument adoré, mais aussi pour nous raconter les épisodes, joyeux ou dramatiques, de sa vie.” – Le Monde

– “Depuis son enfance, tous ses rêves, toutes ses pensées et ses envies sont tendus vers une passion interdite : la batterie.– La Terrasse

Revue de presse du 21 octobre 2015 : Ce que le jazz fait à ma jambe, le poisson belge, Onomatopée et l’Avare

 

1. Jacques Gamblin fait swinguer le Théâtre du Rond-Point avec “Ce que le jazz fait à ma djambe!” :

– “Ce n’est pas un concert, ce n’est pas une pièce, ce n’est pas un seul en scène. C’est un peu les trois à la fois.“- France Info

– “Spécialiste des seuls en scène insolites (Entre courir et voler il n’y a qu’un pas papaTout est normal mon cœur scintille), Gamblin invite la musique sur scène et inscrit son texte sur des sons de blues, de groove, de punk.– Le JDD

– “A remarquer parmi les sources littéraires du duo, des propos signés Herbie Hancock en personne.” – La Terrasse

– “Comédien incomparable et décidément inclassable, Jacques Gamblin se prête volontiers à toutes les expériences scéniques, partageant l’affiche avec le danseur Bastien Lefèvre ou le pianiste Laurent de Wilde.“- Telerama

 

2. Au Théâtre de la Pépinière, Léonore Confino offre à Marc Lavoine son premier rôle sur scène avec “le poisson belge” :

– “Si le thème de la rencontre improbable n’a rien d’original, son traitement par Léonore Confino déroute tout autant qu’il séduit.“- Froggy’s Delight

– “Littéralement, la rencontre accidentelle d’un travesti et d’une jeune orpheline, l’union inattendue de ces deux solitudes torturées devenant synonyme de force d’entraide” – Telerama

– “Dans la dernière pièce de Léonore Confino, Marc Lavoine fait des débuts sur scène très convaincants, et prometteurs.– Le JDD

 

3. Dans le cadre du Festival d’Automne, quatre compagnies de Belgique et de Hollande, dont les fameux tg Stan, reprennent “Onomatopée” au Théâtre de la Bastille :

– “Fruit d’une  collaboration des compagnies flamandes et néerlandaises tg STAN, De Koe, Dood Paard et Maatschappij Discordia, Onomatopée a été créé en 2007 et débarque aujourd’hui en France.” – La Terrasse

– “Issus de compagnies flamandes et néerlandaises, cinq trublions en équilibre instable affrontent le public presque sans filet.“- Libération

– “De sujet il n’y a point, dans ce spectacle qui fait de la scène un champ d’action (ou plutôt de non-action) dadaïste.– Le Monde

– “Un beau ratage, à l’opposé de leur fameux succès, My Dinner With André,qui mit autrefois (en 2005 et en 2014) les salles en transe !– Telerama

 

4. Jacques Weber revisite “l’Avare” de Molière au Théâtre Dejazet :

– “Disons-le, le chef-d’oeuvre possède une telle puissance qu’il se développe de lui-même et que la mise en scène, si elle est conduite sans arrogance, ne peut que réussir.” – Blog.Le Figaro

– “Jacques Weber, comédien astral, mis en scène par Jean-Louis Martinell, joue ce rôle à la manière d’un Raimu : il aspire, dévore, concasse, renvoie dans un trou noir.“- Froggy’s Delight

– “On pensait naïvement que « l’Avare » était une comédie. Le metteur en scène Jean-Louis Martinelli voit plutôt dans ce classique de Molière un drame.– Le Parisien

Interview de Jacques Weber pour le JDD

Des gens bien, Singin’in the rain, Marie Tudor

Revue de presse du 23 mars 2015

 

1. Allez fêter le printemps au Châtelet avec le réjouissant Sing’in in the Rain :

– “Le spectacle qui, depuis le 12 mars, fait pleuvoir vivats et louanges sur une salle qui s’est muée, en moins d’une décennie, en véritable Broadway sur Seine, est un enchantement absolu.” – Le Figaro

– “Après “My Fair Lady”, l’exigeant Robert Carsen recrée “Singin’ In the Rain” pour la scène. Plus qu’une réplique, des numéros visuels très parlants.” – Telerama

– “Les numéros d’ensemble sont éblouissants, servis par des costumes glamour dignes des meilleures revues de Broadway.” – Le Parisien

– “On sent ici l’influence d’un autre succès, « The Artist », dont le sujet n’était pas si éloigné” – Les Echos

 

2. Christina Réali divise les critiques pour son interprétation de Marie Tudor

– “Elle a le charisme d’une femme de tête, la rage d’une lionne blessée, mais pas la noblesse d’une reine...” – Les Echos

– “Magnifique, elle fait flamber la soirée, dont le feu est bien agréable au premier comme au second degré.” – Webtheatre

 – “Une belle prestance de femme mûre, passant par tous les registres, de l’autorité tyrannique au désarroi le plus désarmé.” – Telerama

 

3. Et Miou-Miou les réconcilie avec Des gens bien

– “Lumineuse comédienne qui sait incarner toute la condition humaine.” – Les Echos

– “Dans la pièce qui se joue au théâtre Hébertot, à Paris, depuis le 29 janvier, Miou-Miou incarne avec brio une mère célibataire malmenée par la vie.” – France-Dimanche

– “La troupe est galvanisée par une actrice en pleine maturité épanouie selon des exigences de qualité absolues.” – Agoravox

– “On ne saurait bouder son plaisir face à cette pièce sur des gens « bien » comme dit le titre, à l’image d’une Miou-Miou qui ne lâche jamais le morceau, quitte à semer un beau bordel autour d’elle.” – Marianne