Revue de presse hebdo du 6 janvier 2016 : Richard III, le Canard sauvage et Barbe-Neige…
1. A la Colline, l’une des dernières opportunités de voir une pièce montée par son Directeur Stéphane Braunshweig avec la reprise de son Canard Sauvage :
– “Le spectacle atteint à un certain fantastique, qui surprend, dérange.” – Telerama
– “Ce n’est pas la restitution réaliste du drame psychologique qui intéresse Braunschweig, mais ce qu’il appelle le choc des idéaux et de la vie réelle.” – Libération
– “Avec cette mise en scène du chef-d’oeuvre d’Henrik Ibsen au Théâtre de la Colline, Stéphane Braunschweig prouve une nouvelle fois qu’il est l’un de nos meilleurs scénographes actuels.” – Les Echos
– Interview de Stéphane Braunschweig pour La Terrasse
2. A l’Odéon Théâtre de l’Europe, reprise du Richard III de Thomas Jolly qui n’avait pas convaincu lors de sa création :
– “Après le triomphe de Henry VI de Shakespeare par le jeune chef de troupe, la suite était très attendue. Réussite totale.” – Le Figaro
– “Jolly est un des rares à pouvoir saisir Richard de Gloucester dans l’étendue de son évolution shakespearienne.” – Libération
– “Si ce Richard III est pesant, c’est non seulement parce que le sujet en est tragique, mais surtout en raison du pari de tout traiter, sans rien couper.” – Le Parisien
– “Le théâtre de Thomas Jolly résiste beaucoup moins bien à Richard III qu’à Henry VI, et fait apparaître ses facilités et sa légèreté.” – Le Monde
– “Sa mise en scène très géométrique reste sans tension, trop diluée dans le temps.” – Telerama
3. Au Théâtre du Rond-Point, l’italienne Laura Scozzi présente Barbe-Neige et les sept petits cochons au bois dormant :
– “Le délire est donc bel et bien omniprésent tout au long de cette soirée iconoclaste.” – Le Parisien
– “Pour un conte de fées pas piqué des hannetons, comptez sur Laura Scozzi.” – Telerama
– “Laura Scozzi a dû s’amuser à hacher menu les contes de fées. Superpositions d’histoires, trafics de personnages, greffes bizarres par-ci, inversions insolites par-là, elle a taillé dans chaque conte pour opérer une mutation épatante.” – Le Monde
– “Huit danseurs livrent une psychanalyse délurée des contes de fées, avec pantoufles qu’on ne retrouvera pas et baguettes dont on ne sait plus se servir.” – France TV Info
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