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Revue de presse du 21 octobre 2015 : Ce que le jazz fait à ma jambe, le poisson belge, Onomatopée et l’Avare

 

1. Jacques Gamblin fait swinguer le Théâtre du Rond-Point avec “Ce que le jazz fait à ma djambe!” :

– “Ce n’est pas un concert, ce n’est pas une pièce, ce n’est pas un seul en scène. C’est un peu les trois à la fois.“- France Info

– “Spécialiste des seuls en scène insolites (Entre courir et voler il n’y a qu’un pas papaTout est normal mon cœur scintille), Gamblin invite la musique sur scène et inscrit son texte sur des sons de blues, de groove, de punk.– Le JDD

– “A remarquer parmi les sources littéraires du duo, des propos signés Herbie Hancock en personne.” – La Terrasse

– “Comédien incomparable et décidément inclassable, Jacques Gamblin se prête volontiers à toutes les expériences scéniques, partageant l’affiche avec le danseur Bastien Lefèvre ou le pianiste Laurent de Wilde.“- Telerama

 

2. Au Théâtre de la Pépinière, Léonore Confino offre à Marc Lavoine son premier rôle sur scène avec “le poisson belge” :

– “Si le thème de la rencontre improbable n’a rien d’original, son traitement par Léonore Confino déroute tout autant qu’il séduit.“- Froggy’s Delight

– “Littéralement, la rencontre accidentelle d’un travesti et d’une jeune orpheline, l’union inattendue de ces deux solitudes torturées devenant synonyme de force d’entraide” – Telerama

– “Dans la dernière pièce de Léonore Confino, Marc Lavoine fait des débuts sur scène très convaincants, et prometteurs.– Le JDD

 

3. Dans le cadre du Festival d’Automne, quatre compagnies de Belgique et de Hollande, dont les fameux tg Stan, reprennent “Onomatopée” au Théâtre de la Bastille :

– “Fruit d’une  collaboration des compagnies flamandes et néerlandaises tg STAN, De Koe, Dood Paard et Maatschappij Discordia, Onomatopée a été créé en 2007 et débarque aujourd’hui en France.” – La Terrasse

– “Issus de compagnies flamandes et néerlandaises, cinq trublions en équilibre instable affrontent le public presque sans filet.“- Libération

– “De sujet il n’y a point, dans ce spectacle qui fait de la scène un champ d’action (ou plutôt de non-action) dadaïste.– Le Monde

– “Un beau ratage, à l’opposé de leur fameux succès, My Dinner With André,qui mit autrefois (en 2005 et en 2014) les salles en transe !– Telerama

 

4. Jacques Weber revisite “l’Avare” de Molière au Théâtre Dejazet :

– “Disons-le, le chef-d’oeuvre possède une telle puissance qu’il se développe de lui-même et que la mise en scène, si elle est conduite sans arrogance, ne peut que réussir.” – Blog.Le Figaro

– “Jacques Weber, comédien astral, mis en scène par Jean-Louis Martinell, joue ce rôle à la manière d’un Raimu : il aspire, dévore, concasse, renvoie dans un trou noir.“- Froggy’s Delight

– “On pensait naïvement que « l’Avare » était une comédie. Le metteur en scène Jean-Louis Martinelli voit plutôt dans ce classique de Molière un drame.– Le Parisien

Interview de Jacques Weber pour le JDD