Démons, Battlefield, Hyacinthe et Rose et Le Réformateur du monde
Revue de presse du 16 septembre 2015
1. Au Rond-Point, des Démons bien décevants :
– “La mise à sac du couple façon Lars Noren (écrite en 1984), avec des relents d’Edward Albee (Qui a peur de Virginia Woolf ?) et des clins d’œil au théâtre du compatriote Strindberg — mâtinés de films d’Ingmar Bergman —, reste médiocre.“- Telerama
– “Et malheureusement, on reste parfois sur des réactions, des rires, des instants de jeu un peu attendus, courus d’avance.” – Un Fauteuil pour l’Orchestre
– “Démons reste une plongée dans l’enfer des couples, un des thèmes de prédilection de Lars Noren“- Le Monde
– “On pense à Carnage parfois, projet également théâtral et cinématographique.“- Ouest France
2. Trente ans après son “Mahabharata”, Peter Brook crée “Battlefield” aux Bouffes du Nord :
– “Nous avons voulu raconter ce qui se passe après la bataille.”– France TV Info
– “Le maître des Bouffes du Nord, qui vient de fêter ses 90 ans, explore un épisode inédit, monté dans une version minimaliste d’un peu plus d’une heure.“– Le Monde
– “It is a play which will ask profound questions about life, but mainly death.“– The Guardian
3. Hyacinthe et Rose : reprise du spectacle de François Morel à l’Atelier
– “Maniant la langue de Molière comme un funambule au dessus de l’univers, Hyacinthe et Rose est une fois encore un exercice de style des émotions.“– France TV Info
– “C’est aussi l’humilité de la mise en scène qui touche, partagée entre lecture et jeu, avec un accompagnement musical très réussi interprété par Antoine Sahler.“– Un Fauteuil pour l’Orchestre
– “Truculent et poète, poussant soudainement la chansonnette, le comédien a un ton vif, son regard, souvent amusé, est toujours tendre, ce qui n’interdit pas l’ironie, jamais méchante.“– La Croix
4. Le Réformateur ouvre la saison au Théâtre de l’Oeuvre
– “Après deux premières versions conçues en 1991 et 2000, André Engel revient au Réformateur de Thomas Bernhard.“– La Terrasse
– “Serge Merlin qui oscille entre cynisme hilarant, finesse de l’esprit et émotions profondes“– Fousdetheatre.com
– “De la situation, d’un personnage haut en couleurs faisant leçon à son poisson rouge, Serge Merlin s’empare avec maestria“– Huffingtonpost
– “Il excelle à jouer ce texte magnifiquement écrit, plein de sens et de musicalité, cette mise en abîme de l’existence humaine“– Le JDD