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Notre crâne comme accessoire, une vraie pièce de troupe

Notre Crâne comme accessoire – Spectacle vu le 12 mars 2016
A l’affiche du Théâtre des Bouffes du Nord jusqu’au 26 mars 2016
Une création collective de la Compagnie Les Sans Cou
Librement inspirée du Théâtre ambulant Chopalovitch de Lioubomir Simovitch
Mise en scène : Igor Mendjisky

Notre crâne comme accessoire, une forme de théâtre de résistance…

On les avait quittés mi-novembre 2015, au moment où leur spectacle Idem venait de se faire rattraper par la sinistre et effroyable actualité. Les voici de retour. Toujours les armes à la main. Mais cette fois-ci leurs mitraillettes sont en plastique et leurs épées en bois. Car la compagnie Les Sans Cou a choisi de nous raconter l’histoire du théâtre ambulant Chopalovitch, cette troupe itinérante qui débarque en 1941 dans un village de Serbie occupé par l’Allemagne nazie. Ils réinterprétent la trame de Lioubomir Simovitch, tentent de répondre à leurs propres questionnements. Que ferait-on en temps de guerre ? Quelle serait notre place, à nous les baladins, les artistes ? Prendrions-nous les armes ? Comment réagirions-nous face à la barbarie? Aurions-nous la force de ne pas avoir peur ? Que deviendrait notre théâtre ? Tant de questions jetées pêle-mêle par Igor Mendjisky et sa bande pour construire un spectacle fort, drôle, émouvant, sans doute un poil fouillis, mais salvateur et nécessaire.

 

Notre crâne comme accessoire_2
©Ghislain Dorglandes

Sans trop dévoiler de la représentation, citons quelques trouvailles et instants magiques qui nous resteront longtemps en mémoire. La scène d’ouverture, à l’image de cet esprit de troupe un brin potache qui est leur marque de fabrique. La scène au bord de l’eau, entre violence charnelle et rêverie hypnotique. L’ambiance cabaret qui flotte sur le décor naturel des Bouffes du Nord. La scène des obsèques du Loup (eh oui, on a croisé un loup et trois petits cochons !) qui nous offre la clé d’un titre de pièce délicieusement énigmatique. Le talentueux multi-instrumentiste Raphaël Charpentier qui fait partie intégrante du récit. Et tous ces personnages, attachants ou monstrueux. Chopalovitch le chef de troupe philosophe, le Broyeur et son trombone ensanglanté, Sophie la danseuse envoûtante, Gina et Babich au langage fleuri, Miloun le militaire qui se rêve comédien… Et puis Victor, sans doute le plus émouvant de tous. Brisé par la vie, celui-ci a décidé de s’en inventer une autre. Une existence qui ne serait que jeu, un destin où le monde entier serait une immense scène de théâtre…

 

Notre crâne comme accessoire_1

 

Igor « Chopalovitch-Mendjisky » et sa troupe ambulante nous donnent envie, s’il en était besoin, d’aller encore et toujours plus au théâtre :

1 – Comme toujours dans les propositions créatives des Sans Cou, on sent le plaisir qu’ils ont pris dans l’écriture collective…
2 – …un plaisir palpable sur scène, totalement communicatif, qui nous accompagne bien au-delà des deux heures que durent le spectacle.
3 – Un plaisir qui fonctionne sur petits et grands : emmenez-y vos ados, ils adoreront !


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Revue de presse du 16 mars 2016 : La Mer, Les Gens d’Oz et Notre crâne comme accessoire

 

 

1. La rencontre d’exception entre Edward Bond et Alain Françon aboutit à une Mer largement saluée par la critique :

– « L’intelligence profonde entre les deux hommes éclate à chaque seconde lors de cette soirée qui surprendra plus d’un spectateur : ceux qui connaissent l’œuvre de Bond à travers ses diverses Pièces de guerre montées depuis vingt ans ; ceux qui ne la connaissent pas, tant derrière sa facture en apparence classique, Bond creuse loin dans le parcours existentiel de ses personnages. » – Le Monde

– « Les morceaux de bravoure s’enchaînent (…) Le théâtre brille comme un phare dans la nuit du monde. Edward Bond et son noir humanisme sont entrés au Français par la grande porte. » – Les Echos

– « L’ancrage de la pièce dans le passé la prive d’une lecture plus contemporaine. » – L’Express

– « La troupe très bien dirigée est au diapason (...) Une entrée au répertoire aussi accomplie que réussie. » – Publik’Art

– « La Mer est un spectacle qui donne à aimer, ou à aimer plus encore, le Théâtre.«  – Froggy’s Delight

– « Le titre original de la pièce est « The sea, a comedy ». La mer de Françon colle à une comédie drôle et cruelle. Les scènes de la fureur d’Hasch  de la répétition amateur d’Orphie ou de la dispersion des cendres à la Big Lebowsky sont très drôles. » – Toute la Culture

– Interview d’Alain Françon pour Le Monde

– Interview d’Edward Bond pour Le Figaro

 

2. Galin Stoev crée au Théâtre de la Colline Les Gens d’Oz de sa compatriote bulgare Yana Borissova :

– « Tous ces personnages assènent sans se poser de questions des phrases définitives sur la vie, l’amour, la mort. Les comédiens ont l’air très convaincus. Nous, pas du tout. » – Telerama

– « La mise en scène fluide de Galin Stoev convient parfaitement à ce registre d’écriture, la distribution est judicieuse et l’interprétation homogène s’avère idéale. » – Froggy’s Delight

– « Il y a une joie qui parcourt cette aventure. On en ressort plus jeune. A ne pas rater. » – Toute la Culture

– « Seuls quelques moments de grâce sauvent de justesse un spectacle somme toute un peu bancal. » – Les 5 pièces

– « On parle écriture, édition, musique, art, panne d’inspiration, vie, amour, espérance, renoncement. C’est d’une légèreté cristalline et d’une profondeur puissante. » – Le  Blog du Figaro

– Interview de Galin Stoev pour La Terrasse

 

3. La Compagnie Les Sans Cou investit le Théâtre des Bouffes du Nord avec sa nouvelle création, Notre crâne comme accessoire inspirée du théâtre ambulant Chopalovitch :

– « L’art, arme de résistance ? A cette question pour toujours d’actualité, les Sans Cou esquissent une réponse provocatrice, poétique, impertinente, méchante et délicate. » – Les Inrocks

– « Poser les questions qui nous agitent, qui nous mettent en mouvement dans un dialogue permanent avec le public : tel est le projet des Sans cou, avec ce nouvel opus d’un répertoire qui compte désormais parmi les plus originaux de la scène théâtrale contemporaine. » – La Terrasse

– « Les comédiens trouvent le ton juste, sans emphase mais avec force, pour montrer la possibilité d’un théâtre engagé et réflexif, où les acteurs descendent de leur tour d’ivoire pour combattre l’ignorance et la barbarie. » – Un fauteuil pour l’orchestre

– « Un rendez-vous intense avec le public, donc, sur les libertés du théâtre. » – France Culture

– Interview d’Igor Mendjisky

 

Igor Mendjisky_portrait

Interview d’Igor Mendjisky

Interview d’Igor Mendjisky, Auteur interprète et metteur en scène – 19 février 2016
A l’affiche du Théâtre des Bouffes du Nord  avec la nouvelle création de sa compagnie Les Sans Cou

 

Si les Sans Cou se définissent comme une bande – en hommage au poème « les Quatre sans cou » de Robert Desnos – il leur faut bien un meneur : il s’appelle Igor Mendjisky et il a un talent fou.

Mi-février 2016. Il y a trois mois à peine, nous avions découvert la reprise de son spectacle Idem au Théâtre de la Tempête. Un spectacle dont la première tombait le 12 novembre 2015… Un spectacle sur la quête d’identité, dont l’intrigue s’organisait autour de la sanglante prise d’otage du théâtre de la Doubrovka. Les attentats de novembre firent basculer public et comédiens dans une sorte de mise en abyme absolument terrifiante. À peine « remise » de ce dernier spectacle, la Compagnie Les Sans Cou investit la mythique scène des Bouffes du Nord avec sa toute nouvelle création, Notre Crâne comme accessoire. Igor Mendjisky construit sa mise en scène au plateau. Avec les fidèles de sa troupe, auxquels se sont ajoutés pour l’occasion quelques autres comédiens et musiciens. Travailleur acharné, précis, opiniâtre, tenace, passionné de textes, admirateur et proche de Wajdi Mouawad, ce qui caractérise par-dessus tout Igor Mendjisky c’est sans doute son envie de nous raconter des histoires…


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Revue de presse du 13 janvier 2016 : Victor F, la Fugue, les Femmes Savantes et les Molière de Vitez

 

1. Laurent Gutmann présente au Théâtre de l’Aquarium Victor F. tiré du «Frankenstein» de Mary Shelley :

– « Des acteurs savoureux, une scénographie surprenante, un curieux spectacle qui ouvre un large spectre de réflexions sur les avancées de notre civilisation et son ensauvagement, sur les bienfaits des progrès de la science et la défiance à l’égard du projet transhumaniste. » – Un Fauteuil pour l’orchestre

– « L’excès de second degré tue à la longue l’intérêt du propos. » – Les Echos

– « La mise en scène et la scénographie sont au rendez-vous du propos. La pièce est belle. Le spectacle est un ravissement. » – Toute la Culture

– « Alliant grotesque et profondeur, il nous gagne immédiatement à la cause de son univers. » – La Terrasse

– « Laurent Gutmann créé une version moderne du mythe de Frankenstein dans laquelle on retrouve la question du transhumanisme mais aussi celle de la responsabilité du créateur. » – Theatral Magazine

 

2. La reprise aux Bouffes du Nord de Fugue de Samuel Achache, l’une des bonnes surprises du in avignonnais 2015 :

– « Sous forme d’une orchestration à plusieurs voix successives, les comédiens, qui sont également musiciens, accompagnent le texte d’airs joués au violoncelle, piano ou clarinette. » – Libération

– « Un spectacle où s’entremêlent la musique et le texte… à l’autre bout du monde : en Antarctique, sur une drôle de base scientifique internationale. » – Arte

– « Les six interprètes ont composé chacun leur partition dans ce travail très collectif, et qui sonne juste, en dépit de longueurs dans la narration par moments. » – Le Parisien

– Interview de Samuel Achache pour La Terrasse

 

3. Après Les Femmes savantes vues par Macha Makaïef, voici celles vues par Elisabeth Chailloux au Théâtre des Quartiers d’Ivry :

– « Elisabeth Chailloux indique procéder à une mise en résonance avec le féminisme des années 1960, parallèle non pertinent dès lors que ses revendications concernent la remise en cause des rôles familiaux traditionnels et la liberté sexuelle. » – Froggy’s Delight

– « Hélas, il y a beaucoup de contresens dans cette transposition interprétée sans homogénéité. » – Le Figaro

– « Elisabeth Chailloux revisite ici la pièce de Molière en l’inscrivant dans une ambiance de fin des années 1960. »–  Le Parisien

– Interview d’Elisabeth Chailloux pour La Terrasse

 

4. Pour rester chez Molière, le pari fou de Gwenaël Morin de remonter ceux deVitez aux Amandiers :

– « Pour jouer L’École des femmes, Tartuffe, Dom Juan et Le Misanthrope, Morin a travaillé avec des élèves acteurs du Conservatoire de Lyon. » – Le Figaro

– « C’est Molière en lâcher prise que nous offrent le directeur du Point du Jour et sa jeune troupe – du théâtre vibrant, fiévreux, intemporel, qui semble inventé à même le grand plateau. » – Les Echos

– « La distribution s’est faite au hasard, par tirage au sort, sans tenir compte des rôles d’hommes ou de femmes, des personnages principaux ou secondaires. » – France Inter

– « Le texte, rien que le texte, mais tout le texte joué hors de toute tentation psychologique, sous le regard du metteur en scène Gwénaël Morin. » – Le Progrès

 

 


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Revue de presse du 9 décembre 2015 : l’Orestie, En attendant Godot, la Cerisaie et le méridien

 

1. Vingt ans après, Roméo Castellucci remonte son Orestie et divise la critique :

– « Reprise troublante d’un spectacle créé il y a vingt ans. Comme un vieux pull que l’on retrouve dans une armoire : il a beau être un peu usé aux coudes, on l’aime encore. » – Blog Mediapart

– « Choc des images, qui depuis ont été beaucoup imitées, et des sons. » – Le Monde

– « Dans ce magma théâtral, il y a certes des éclairs de grâce, des coups d’audace (Agamemnon réincarné en bouc sanglant), mais l’abus d’effets racoleurs et de pathos, le trash convenu, le rythme mal maîtrisé rendent l’ensemble indigeste. » – Les Echos

– « Un délire orgiaque charrie les effluves d’un monde en décomposition, avec des scènes sidérantes de force auxquelles succèdent de (longs) moments d’errance qui pousseraient à l’assoupissement si le spectacle n’était aussi bruyant. » – Marianne

 

2. En cette fin d’année, la tournée de la pièce de Jean-Pierre Vincent En attendant Godot passe par les Bouffes du Nord :

– « La mise en scène de Jean-Pierre Vincent donne à voir et à entendre la pièce sous un prisme nouveau qui s’impose et éclate d’évidence. » – Le JDD

– « Le Godot idéal pour découvrir la pièce ou la redécouvrir – pour entendre la moindre nuance de ce que nous dit Beckett, qui non seulement n’a pas vieilli, mais prend un sens tout à fait particulier aujourd’hui. » – Le Monde

– « En allant chercher du côté des clowns tristes que sont Laurel et Hardy et parfois Buster Keaton, la mise en scène de Jean-Pierre Vincent offre un moment de pur plaisir. » – L’Express

– « Jean-Pierre Vincent livre un Godot fait de silences et de rires. » – France TV Info

 

3. Au Théâtre de la Colline, le fameux collectif belge tg Stan s’attaque à La Cerisaie de Tchekhov :

– « La langue de Tchekhov passée à la moulinette du bien entendre par tous, ponctuée de blagues et d’apartés, de clins d’œil rieurs et de petites crises d’hystérie attractives devient, par l’art consommé du nivellement, d’une confondante et grossière quotidienneté. » – Les Inrocks

– « S’il fallait qualifier d’un mot « La Cerisaie » proposée par les tg STAN, le mot choisi serait limpidité. » – Froggy’s Delight

– « La force de ce théâtre-là est d’éloigner cette pièce monstre de Tchekhov de son habituelle pesanteur mélancolique. » – Telerama

– « Un théâtre qui s’envisage comme « une invitation au dialogue » plutôt que comme la conception d’un produit achevé. » – La Terrasse

 

4. Au Rond-Point, Nicolas Bouchaud joue seul sur scène Le méridien de Paul Celan, et c’est une performance :

– « Le Méridien, spectacle vraiment bouleversant par ailleurs, est le troisième solo que l’acteur Nicolas Bouchaud crée avec le metteur en scène Eric Didry, après La Loi du marcheur et Un métier idéal. » – Le Monde

– « Bouchaud, c’est Brel chantant sur scène et donnant tout. La poésie le possède. Il a une ­confiance absolue dans le verbe. » – Les Echos

– « Magie du théâtre, Nicolas Bouchaud fait de la pensée, un personnage, il trace à la craie sur le sol une carte du raisonnement de Paul Celan. » – France Info

– « On voudrait retenir chaque phrase, s’arrêter sur chaque fragment, en interroger le sens profond.«  – L’Humanité

– « Qui dit le texte, qui voit-on sur scène ? Celan ressuscité, Bouchaud lui-même, l’acteur, le poète ? Tous ceux-là et, en même temps, aucun d’entre eux seulement. » – La Terrasse


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Revue de presse du 4 novembre 2015 : Moins 2, Tabou, Une laborieuse entreprise et Macbeth (The Notes)

 

1. Au Théâtre Hébertot, Guy Bedos reprend le rôle de Jean-Louis Trintignant dans « Moins 2 », la pièce de Samuel Benchetrit :

– « Poétique et philosophique à la fois, le texte de Samuel Benchetrit est drôle et plein de finesse » – Publikart

– « Philippe Magnan est un comédien très attachant et toujours profond, « vrai » et subtil. Guy Bedos, comédien qui a beaucoup été seul sur les plateaux, trouve la juste camaraderie qu’exige la pièce.« – Blog.le Figaro

– « C’est une fable, certes résolument contemporaine, mais qui aborde des sujets éternels (l’amour, la mort, le rejet…). » – Sortir à Paris

– Interview de Guy Bedos pour Le Parisien

 

2. Reprise de « Tabou » au Théâtre du Lucernaire, le spectacle de Laurence Février inspiré de faits réels :

– « Tabou est un spectacle extrêmement important, puisqu’abordant le sujet délicat du viol. » – Sortir à Paris

– « Pendant une heure, cinq magnifiques comédiennes (Anne-Lise Sabouret, Françoise Huguet, Carine Piazzi, Véronique Ataly et Mia Delmaë) tournoient en une ronde effrayante, prenant tour à tour en charge la parole des victimes et celle de l’inquisition sociale. » – La Terrasse

– « Dépositions et questions alternent, dans un passage de relais des interprètes qui –comme pour La ronde– passent du rôle de la victime à celle d’enquêteur, policier ou juge« – Le JDD

– Interview de Laurence Fevrier pour Les trois coups

 

3. Au Poche-Montparnasse, Myriam Azencot met en scène « Une laborieuse entreprise » de Hanokh Levin :

– « Drame de la quotidienneté, la tragédie du couple au cœur d’«Une laborieuse entreprise» est frontalement mise en scène par Myriam Azencot. » – La Terrasse

– « Hanokh Levin, considéré comme l’un des plus grands dramaturges contemporains, décrit ici avec une plume d’une efficacité redoutable une tranche de vie de ces petites gens en quête d’un bonheur incertain.« – Reg’Arts

– « On assiste ainsi à un spectacle oxymorique fusionnant mélodrame et vaudeville, habité par des personnages à la limite du clownesque. » – Time Out

Une tranche de vie théâtrale qui vous convaincra de ne pas laisser la haine et la monotonie s’installer au sein de votre couple ». – BSC News

 

4. Créé au Théâtre sortieOuest à Béziers, en janvier 2014, « Macbeth (The Notes) » poursuit sa route au Théâtre des Bouffes du Nord :

– « Un seul comédien en scène (David Ayala) se met dans la peau d’un metteur en scène contemporain prodiguant ses conseils de jeu à la troupe une semaine avant la première. » – Les Echos

– « Conçu à la manière d’un stand-up transpercé par des fragments de Macbeth, le spectacle impose la force de jeu d’un comédien, mais pas le projet auquel il prend part.« – La Terrasse

– « Superbement servi par un David Ayala à la hauteur de la folie de son personnage, Macbeth (The Notes) déploie par l’humour et le dynamitage des conventions, un vibrant éloge au théâtre. » – Toute la Culture

– « Par sa performance de plus d’une heure et demie sans faute de rythme, Ayala rejoint des comédiens comme Philippe Caubère ou Alexandre Astier, eux aussi seuls en scène face à des monstres comme Molière ou Jean-Sébastien Bach. » – France TV Info


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Démons, Battlefield, Hyacinthe et Rose et Le Réformateur du monde

Revue de presse du 16 septembre 2015

 

 

1. Au Rond-Point, des Démons bien décevants :

– « La mise à sac du couple façon Lars Noren (écrite en 1984), avec des relents d’Edward Albee (Qui a peur de Virginia Woolf ?) et des clins d’œil au théâtre du compatriote Strindberg — mâtinés de films d’Ingmar Bergman —, reste médiocre.« – Telerama

– « Et malheureusement, on reste parfois sur des réactions, des rires, des instants de jeu un peu attendus, courus d’avance. » – Un Fauteuil pour l’Orchestre

– « Démons reste une plongée dans l’enfer des couples, un des thèmes de prédilection de Lars Noren« – Le Monde

– « On pense à Carnage parfois, projet également théâtral et cinématographique.« – Ouest France

 

2. Trente ans après son « Mahabharata », Peter Brook crée « Battlefield » aux Bouffes du Nord :

– « Nous avons voulu raconter ce qui se passe après la bataille. »– France TV Info

– « Le maître des Bouffes du Nord, qui vient de fêter ses 90 ans, explore un épisode inédit, monté dans une version ­minimaliste d’un peu plus d’une heure.« – Le Monde

– « It is a play which will ask profound questions about life, but mainly death.« – The Guardian

 

3. Hyacinthe et Rose : reprise du spectacle de François Morel à l’Atelier

– « Maniant la langue de Molière comme un funambule au dessus de l’univers, Hyacinthe et Rose est une fois encore un exercice de style des émotions.« – France TV Info

– « C’est aussi l’humilité de la mise en scène qui touche, partagée entre lecture et jeu, avec un accompagnement musical très réussi interprété par Antoine Sahler.« – Un Fauteuil pour l’Orchestre

– « Truculent et poète, poussant soudainement la chansonnette, le comédien a un ton vif, son regard, souvent amusé, est toujours tendre, ce qui n’interdit pas l’ironie, jamais méchante.« – La Croix

 

4. Le Réformateur ouvre la saison au Théâtre de l’Oeuvre

– « Après deux premières versions conçues en 1991 et 2000, André Engel revient au Réformateur de Thomas Bernhard.« – La Terrasse

– « Serge Merlin qui oscille entre cynisme hilarant, finesse de l’esprit et émotions profondes« – Fousdetheatre.com

– « De la situation, d’un personnage haut en couleurs faisant leçon à son poisson rouge, Serge Merlin s’empare avec maestria« – Huffingtonpost

– « Il excelle à jouer ce texte magnifiquement écrit, plein de sens et de musicalité, cette mise en abîme de l’existence humaine« – Le JDD

Rebecca Marder au Français, Ostermeier au Théâtre de la Ville, Podalydès aux Bouffes du Nord et deux festivals d’été

Revue de presse du 24 juin 2015

 

1. La toute dernière pensionnaire de la Comédie-Française est aussi la benjamine de la troupe :

– « C’était le plus beau jour de ma vie, dit Rebecca Marder, qui est la deuxième pensionnaire, après Dominique Blanc, engagée par Eric Ruf. » – Le Monde

– « Une jeune fille de 20 ans, loin d’être une inconnue parce qu’elle appartient à une famille qui a à voir avec le monde du spectacle et qui peut déjà s’enorgueillir d’un très joli parcours. » – Le Figaro

– « Rebecca Marder interprètera son premier rôle à la Comédie-Française dans «Les Rustres» de Carlo Goldoni mis en scène par Jean-Louis Benoît au Théâtre du Vieux-Colombier, du 25 novembre au 10 janvier. » – Le Parisien

 

2. Le mariage de Maria Braun au Théâtre de la Ville, dans une mise en scène d’Ostermeier :

– « Thomas Ostermeier s’attaque ici à l’histoire de son pays, à la fin de la RFA, à un peuple qui tente de retrouver un semblant d’espoir dans un monde détruit. » – Sortir à Paris

– « À la fois dense et fluide, cette adaptation du chef d’œuvre de Rainer Werner Fassbinder est menée avec brio par des acteurs impeccables. » – Les Inrocks

– « Ostermeier respecte scrupuleusement la chronologie du film de Fassbinder, son balancement entre destruction et reconstruction. » – Libération

 

3. Reprise du Bourgeois Gentilhomme de Denis Podalydès aux Bouffes du Nord :

– « Après l’Opéra de Versailles en avril dernier, reprise estivale et parisienne de la mise en scène de Denis Podalydès aux Bouffes du Nord. » – La Terrasse

– « Denis Podalydès excelle dans le rôle de celui qui rend à cette pièce ce qu’elle était à sa création : une comédie-ballet. » – Sortir à Paris

– « La distribution est de belle étoffe et si l’on en croit les notes du programme, Denis Podalydès a puisé dans des bassins divers avec beaucoup de sagacité. » – Le Figaro

 

4. Zoom sur le 66ème Festival d’Anjou et sur Viva Cité :

– « Le Festival d’Anjou débute lundi soir par la création de son directeur artistique, « Paris Broadway », au château du Plessis-Macé. Le premier jour d’une quinzaine éclectique et qualitative. » – Angers Mag

– « Petit frère du festival, le Concours des Compagnies a bien grandi depuis sa création en 2005. » – Angers Mag

– « Pour sa dernière, le directeur historique de Viva Cité, Daniel Andrieu, revient sur l’histoire et l’actualité du festival des arts dela rue qui a lieu le week-end prochain à Sotteville-lès-Rouen. » – Normandie Actu

« 90 000 personnes sont attendues durant ces trois jours, qui constituent l’un des plus grands festivals du genre en Europe. » – Normandie Actu

 

L’Art du rire, le Festival Rambert à nu et le Printemps des Comédiens

Revue de presse du 10 juin 2015

 

1. Reprise de l’Art du rire de Jos Houben au Théâtre du Rond-Point :

– « Houben, véritable absurde, véritable belge, de ce pays de l’entre-deux, convainc et entraine dans sa folie un public libéré du conformisme ambiant et du nuage toxique du « politiquement correct. » – Froggy’s Delight

– « Dans ce spectacle, « L’Art du rire », Jos Houben explique à qui voudra l’entendre comment fonctionne le rire, et peut-être, comment le déclencher chez autrui. » – Sortir à Paris

– « Le rire étant le propre de l’homme, L’Art du rire de Jos Houben a de beaux jours devant lui. » – Les Inrocks

 

2. Festival Rambert à nu du 9 au 20 juin au Théâtre de Bouffes du Nord :

– « Le Théâtre des Bouffes du Nord met en lumière 20 ans du travail d’un auteur singulier, Pascal Rambert, dramaturge, metteur en scène, chorégraphe, acteur et performeur, qu’il résume lui-même en trois mots: Parler, aimer, souffrir » – L’Express

– « Le pari du festival est de donner cinq pièces « à nu », sans décor, dans le cadre patiné du théâtre des Bouffes du Nord. » – Le Parisien

– « « Rambert à nu », ou comment Pascal Rambert, directeur de théâtre et metteur en scène, se voit confronter à repenser intégralement les scénographes de ses pièces de théâtre. » – Sortir à Paris

 

3. Coup d’envoi du 28ème Printemps des Comédiens à Montpellier :

– « Créé à l’initiative du Conseil Général de l’Hérault en 1987, le Printemps des Comédiens accueille entre vingt et vingt cinq spectacles et plus de 40 000 spectateurs payants. » – France Inter

– « Annulée soir après soir par le combat des intermittents, la saison dernière, la manifestation renaît en ce 10 juin sous la houlette de Jean Varela et le soutien du conseil général de l’Hérault. » – Le Figaro

– « Cyril Teste met en scène “Nobody”. Une création qui tournera en France jusqu’en février 2016. » – Midi Libre

 

 

« Ancien Malade des hôpitaux de Paris » à l’Atelier, « La Révolte » aux Bouffes du Nord, « Les Inquiets et les Brutes » au Lucernaire et « Don Juan revient de guerre » à l’Athénée

Revue de presse du 15 avril 2015

 

Ancien Malade

1. Olivier Saladin dans un Seul en scène d’après le récit de Daniel Pennac :

– « Olivier Saladin excelle à donner vie à tous les personnages hauts en couleur qui se croisent dans l’hôpital. Il donne de la chair à chacun, sans composer lourdement. » – Le Figaro

– « Telle une maladie nosocomiale, le rire insufflé par Daniel Pennac et porté par Olivier Saladin se transmet en une soirée le long de chacune des rangées du théâtre. » – Froggy’s Delight

– « Olivier Saladin s’empare avec brio de ce conte médical délirant, véritable course- poursuite burlesque, truffée de péripéties, dans les différents services d’un hôpital. » – Artistik Rezo

 

2. Anouk Grinberg et Hervé Briaux dans une sombre mise en scène de Marc Paquien  :

– « Marc Paquien installe une atmosphère cauchemardesque, un territoire d’ombres animé par les fantastiques lumières de Dominique Bruguière (…) Un grand moment de théâtre abstrait. » – Les Echos

– « La mise en scène dépouillée de Marc Paquien – un bureau, quelques fauteuils, un grand rideau drapé en fond de scène – habillée des belles lumières de Dominique Bruguière, laisse toute sa place au texte et aux acteurs. » – Le Parisien

– « Dans le rôle écrasant d’Élisabeth, Anouk Grinberg est à son meilleur. Elle enchaîne les reproches et les espérances, frôle le triomphe, esquive la défaite et crée un personnage de femme au charisme étonnant.« – Froggy’s Delight

– « La forme aussi innove ici, comme le souligne une mise en scène tout ensemble sobre et étrangement opératique. » – Telerama

 

3. Pour la première fois en France, une pièce de l’allemand Nis-Momme Stockmann :

– « Une comédie noire qui bascule en long voyage dans la nuit, par Nis-Momme Stockmann, pour la première fois traduit et mis en scène en France. » – Artistik Rezo

– « Les inquiets et les brutes réussit à aborder des thèmes difficiles comme les conflits de loyauté dans la famille et l’incapacité de faire face à la mort le moment venu. » – Goethe Institut

– « Faire connaître et découvrir un auteur allemand en France est le point de départ de cette mise en scène par Olivier Martinaud. » – Les Inrocks

 

4. Une mise en scène élégante du Don Juan revient de guerre d’Odon Von Horvàth :

– « Le travail d’Osinski est rigoureux, intelligent. On reprochera juste à sa mise en scène un manque de rythme. » – Les Echos

– « Cette partition pour Don Juan et 35 femmes présente une structure atypique car composée de micro scènes, de surcroît ambivalentes, qui signifient l’état du monde de l’époque sous forme de miniatures acerbes. » – Froggy’s Delight

– « Habitué du théâtre de Horvath, Jacques Osinski déroule, d’une main aussi légère que ferme, le fil de cette errance d’un homme que la guerre avait rendu meilleur. » – La Croix