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Place au duo Laurent Cirade Paul Staïcu

Interview de Laurent Cirade et Paul Staïcu – 10 février 2016
A l’affiche du Théâtre du Palais-Royal, avec le Spectacle Duel Opus 2,  (Lire l’article en ligne ici)

 

Sur scène, ils ne parlent pas, ils utilisent leurs instruments pour faire passer tout un tas de messages. Pianopanier a eu la chance de les rencontrer à l’occasion d’une de leurs escales parisiennes

Qui sont-ils exactement ? Des musiciens qui jouent la comédie ? Des clowns virtuoses ? Des globe-trotteurs un peu déjantés ? Ce que l’on aime chez ce duo que forment Laurent Cirade et Paul Staïcu, c’est justement de ne pouvoir les classer nulle part… Depuis plus de quinze ans, ils parcourent le monde avec leur spectacle musical. Paul est pianiste, Laurent est violoncelliste, tous deux sont maestros. Leur tournée planétaire fait une halte parisienne au Théâtre du Palais-Royal. A ne louper sous aucun prétexte, leurs retours aux sources étant trop rares, succès oblige…

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Interview de Jean Robert-Charrier

Interview de Jean Robert-Charrier, directeur du Théâtre de la Porte Saint-Martin et du Théâtre du Petit-Saint Martin

 

Le benjamin des directeurs de théâtre parisiens n’a pas fini de nous surprendre et c’est tant mieux!

Avec un brin d’auto-dérision qui dénote d’une humilité plutôt rare dans le métier, il se compare à une “midinette”. Capable de s’émerveiller face à la beauté du monde et de ressentir plusieurs coups de cœur dans une même journée. Coups de cœur pour des comédiens, des auteurs, des metteurs en scène, des spectacles… Car depuis 7 ans qu’il dirige le Théâtre de la Porte Saint-Martin, son quotidien est empli de rencontres, projets, prises de risques, négociations, déceptions, discussions, paris… tous en lien avec les planches. Une forme de boulimie de travail, beaucoup de ténacité, une bonne dose de sang-froid, une sorte de flair, d’intuition, une perpétuelle remise en cause, une réelle et sincère empathie, une ouverture et curiosité d’esprit – autant de traits de personnalité qui ne sont pas étrangers à sa fulgurante ascension.

Rappelons que ce jeune Tourangeau est “monté à la capitale” pour y entreprendre des études de théâtre. Après une sorte de révélation qu’aurait provoquée chez lui un certain… Laurent Terzieff ! Afin de payer son cursus – qu’il abandonnera rapidement, privilégiant la pratique à la théorie – il travaille comme ouvreur au Théâtre de la Porte-Saint Martin. Il a 20 ans et s’il ne se doute pas qu’il prendra la direction du théâtre en question 5 ans plus tard, il fait tout pour. Depuis, il trace un parcours sans faute, dans un souci de qualité et de professionnalisme qui sont peut-être la seule ligne de programmation clairement identifiable de son lieu. Ou plus exactement de ses lieux, car il est aussi à la tête du théâtre du Petit Saint-Martin et dirigeait le théâtre de la Madeleine jusqu’à fin 2015.

Le Songe d’une nuit d’été mis en scène par Nicolas Briançon, c’est lui. La Beauté recherche et développements, bijou de spectacle écrit par Florence Muller et Eric Verdun, c’est lui. Le succès de la Cage aux folles avec Christian Clavier et Didier Bourdon, c’est lui. Le Roi Lear avec Michel Aumont à la Madeleine, c’est lui. L’adaptation française de Constellations, la pièce de Nick Payne qui connut un énorme succès à Londres, c’est lui. La main tendue au théâtre subventionné, c’est encore lui – il accueille d’ici quelques jours la fascinante mise en scène de Cyrano de Bergerac par Dominique Pitoiset. L’auteur de deux pièces de boulevard à succès (Divina et Nelson) c’est lui aussi…

On l’aura compris, midinette ne rime pas, chez lui, avec naïveté, nonchalance ou insouciance. Et lorsqu’il déclare que les attentats l’ont marqué au point de vouloir “aller encore plus vite, encore plus loin”, forcément, on a envie de continuer à le suivre…

Caroline Proust_Portrait

Interview de Caroline Proust

Caroline Proust : la vie à cent à l’heure

Interview du 5 novembre 2015
Aux Ateliers Berthier – Odéon Théâtre de l’Europe

Actuellement à l’affiche de Vu du Pont de Ivo van Hove  

Piano Panier : Comment êtes-vous arrivée sur le projet “Vu du Pont”?

Caroline Proust : Il y a un peu plus d’un an, Dominique Pitoiset m’a contactée pour reprendre le rôle de Barbara Fordham dans sa mise en scène d’Un été à Osage County. J’ai hésité – pas longtemps – avant d’accepter ce qui représentait un gros défi, dans la mesure où l’on était à 9 jours de la première… Cette première fut l’une des pires représentations de ma vie, tellement j’angoissais de ne pas savoir mon texte mais tout s’est bien passé. C’est sur ce spectacle qu’Eric Bart, directeur de la Programmation de l’Odéon m’a repérée pour le spectacle d’Ivo van Hove. Je me rends compte que j’aime travailler dans l’urgence, c’est aussi la caméra qui apprend ça !

Piano Panier : Vous avez eu finalement très peu de temps pour la reprise parisienne de ce spectacle créé à Londres l’année dernière ?

Caroline Proust : Concrètement, nous n’avons eu que 13 jours de répétition avec Ivo van Hove. Nous avions tous déjà vu le spectacle à Londres, et nous avions accès aux captations, même si, personnellement, j’ai préféré  rester “vierge” de tout visionnage. Ivo van Hove est très précis dans son travail, très rigoureux et très doux dans sa direction.

Piano Panier : Comment définiriez-vous le personnage de Béatrice, que vous incarnez ?

Caroline Proust : Elle est bienveillante, prête à tout sacrifier par amour pour son homme. Je pense qu’aujourd’hui, une femme moderne partirait, elle le quitterait… Et malgré tout, l’histoire de Béatrice qui décide de sombrer avec son compagnon trouve un écho malheureux dans ce qui se passe chez certaines femmes. Ces femmes qui ne travaillent pas, qui vivent sous le joug de leurs maris… Je n’avais pas senti cette dimension à la lecture de la pièce. J’avais surtout été frappée par le parallèle avec la situation actuelle des migrants.

Piano Panier : Quels sont vos autres projets ?

Caroline Proust : Actuellement, je travaille sur un long métrage que je vais réaliser avec Etienne Saldes, sur l’histoire de Sandrine Ageorges Skinner et son combat contre l’exécution de son mari. Hank Skinner, dont je suis persuadée qu’il est innocent, se trouve depuis 22 ans dans les couloirs de la mort… Pour nous, il y a urgence à tourner ce film, pour tenter d’attirer l’attention de l’opinion publique sur cette scandaleuse erreur judiciaire. J’aimerais donc avoir bouclé le tournage avant d’entamer la saison 6 d’Engrenages.  A ce propos, le 24 novembre je serai à New York : la série est nominée aux Amy Awards ! Et deux jours après, je file à Bruxelles sur le tournage de la web série Amnesia. Ce qui est génial dans ce métier, c’est de pouvoir passer ainsi d’un univers à l’autre en si peu de temps.

Piano Panier : Les journées doivent vous sembler bien courtes ?

Caroline Proust : Oui ! mais je m’ennuierais si je n’avais pas autant de perspectives et de projets ! Et je trouve encore le temps de passer du temps avec mes filles. Ce soir, par exemple, juste avant d’arriver au théâtre je les ai aidées à préparer un gâteau. Elles sont persuadées que je pourrais concourir à Top Chef !

Piano Panier : Un coup de coeur ?

Caroline Proust : L’histoire de Sandrine et Hank !

Piano Panier : Un coup de gueule ?

Caroline Proust : J’ai bien conscience que le problème des migrants est extrêmement complexe mais je suis en colère contre notre gouvernement qui pourrait s’impliquer davantage…

Piano Panier : Un coup de blues ?

Caroline Proust : La centrale nucléaire de Fessenheim qui n’est toujours pas fermée, en dépit des promesses de François Hollande – c’est plus qu’un coup de blues !

Piano Panier : Coup bas ?

Caroline Proust : Tout ce qui va à l’encontre, à l’inverse de la franchise ; c’est ce qui fait que le monde va mal.

Piano Panier : Coup de foudre ?

Caroline Proust : Ivo van Hove.

Piano Panier : Coup de génie ?

Caroline Proust : C’est rare ! Pour moi le véritable génie consiste à associer plusieurs talents pour s’en rapprocher…

Piano Panier : Coup de sang ?

Caroline Proust : J’ai plutôt tendance à démarrer au quart de tour ; c’est compliqué pour mon entourage ! Les coups de sang les plus fréquents, je les ai sur la route. Je circule à vélo et je suis confrontée chaque jour à l’incivisme des automobilistes, des scooters, et même des piétons !

Piano Panier : Coup d’envoi ?

Caroline Proust : Amnesia.

Piano Panier : Coup dur ?

Caroline Proust : Les meurtres de la police américaine sur des noirs américains.

Piano Panier : Coup d’essai ?

Caroline Proust : Mon film. Il y a urgence à démarrer le plus vite possible le tournage.

Piano Panier : Coup de tête ?

Caroline Proust : D’avoir contacté cet acteur très connu pour le rôle principal du film…

Piano Panier : Coup de théâtre?

Caroline Proust : Il va accepter : ce sera mon coup de théâtre !

StephanieTessonCharlotteRondelez

A la tête du Poche-Montparnasse…

Interview de Charlotte Rondelez et Stéphanie Tesson – 2 octobre 2015
En direct du Théâtre de Poche-Montparnasse qu’elles dirigent avec Philippe Tesson

 

Grâce à une complicité née d’une passion commune pour le théâtre, ces deux-là ont repris les rênes d’un lieu qui monte qui monte…

Elles se connaissent depuis près de quinze ans. Depuis bien plus longtemps que cela, elles ont pour passion commune le théâtre.
Charlotte Rondelez, diplômée de l’Essec, n’est pas restée bien longtemps en entreprise. A 27 ans, pressentant que sa place est sans doute ailleurs, elle suit une formation intensive de comédienne, et rejoint en parallèle un centre culturel de la Ville de Paris. Elle y rencontre plusieurs compagnies, puis crée la sienne et monte ses propres spectacles… Et voilà : sa place, elle l’a trouvée ! Près de 15 ans plus tard, son CV est plutôt impressionnant, tant dans le rôle de comédienne que dans celui de metteur en scène, et d’auteure (To be Hamlet or not en 2013). Elle a été dirigée à plusieurs reprises par Stéphanie Tesson, notamment dans Ribes en Campagne, Fantasio, et ses Fantaisies bucoliques, microscopiques et potagères…
De son côté, Stéphanie, fille du célèbre journaliste et patron de presse Philippe Tesson, est ancienne élève de l’ENSATT. Metteur en scène et auteure, chef de troupe et comédienne (très remarquée notamment dans Histoire d’un merle blanc d’Alfred de Musset), Stéphanie privilégie les univers de la fantaisie, de la poésie et de l’humour.
Depuis 2013, ces deux filles d’exception dirigent donc le théâtre de Poche-Montparnasse aux côtés du propriétaire…Philippe Tesson. En un an de travaux, elles ont réussi à donner un “coup de peps” à ce lieu historique de la rive gauche. Véritable théâtre d’art et d’essai, “le Poche” est aussi un point de rencontre privilégié avec les artistes. Au fond de l’impasse, il est possible d’embarquer chaque soir pour des aventures aussi variées qu’enrichissantes, à l’image de leurs hôtesses…

NoemieCaillault

Interview de Noémie Caillault

Interview de Noémie Caillault – 9 octobre 2015
Actuellement à l’affiche du Petit Saint-Martin pour la reprise de son spectacle Maligne  

Rencontre avec Noémie Caillault, une fille pleine d’énergie qui a choisi, pour mieux la vaincre, de combattre sa maladie sur les planches…

Lorsqu’elle faisait des rêves de scène, Noémie Caillault ne pouvait imaginer de quelle manière ils se concrétiseraient… Jamais elle n’aurait pu prévoir que sa carrière de comédienne aurait pour point de départ une boule de 6 centimètres dans son sein droit. C’est pourtant bien cette tumeur qui a fait accélérer le tempo. Une tumeur qu’elle choisit de combattre sur scène. Et dans ce combat, la plus maligne n’est pas forcément celle qu’on croit, celle qu’on craint…

Marion Malenfant_portrait

Interview de Marion Malenfant

Interview de Marion Malenfant – 9 octobre 2015
Actuellement à l’affiche du Théâtre Hébertot pour son rôle dans Victor

Marion Malenfant_portrait

 

Repérée par John Arnold, puis par Muriel Mayette-Holtz, Marion Malenfant n’en a pas fini de séduire la scène

Un sourire mi-angélique, mi-mutin. Une gouaille façon “titi parisien”. Un franc parler qui laisse deviner un caractère droit, sincère et facile à vivre. Une “envie de scène” qui semble avoir toujours été là. Un talent inouï. Une sincérité, une joie de vivre, une manière de s’enthousiasmer pour les projets qu’elle choisit. Un côté fonceur, entier, déterminé. Marion Malenfant déborde d’énergie positive. Son appétit de vivre et sa passion pour la scène se combinent de telle sorte que rien ne pourrait l’arrêter. A 27 ans, elle semble la première étonnée de son parcours déjà impressionnant. Après avoir remporté le 1er prix d’Art Dramatique au Conservatoire d’Antibes, elle monte à Paris pour suivre le Cours Florent et faire ses débuts sur scène.

Elle n’attendra pas très longtemps avant de croiser le “rôle de sa vie”. Hasard d’une rencontre ? chance? destin? – sans doute un peu de tout cela. John Arnold lui confie le rôle de Marylin Monroe dans le projet un peu fou qu’il s’apprête à monter. Il s’agit d’adapter à la scène le roman de Joyce Carol Oates relatant la vie de l’une des plus grandes icônes de notre siècle. Marion Malenfant n’hésite pas : son instinct lui commande de saisir cette formidable occasion de brûler les planches en beauté. Quelques mois plus tard, Muriel Mayette-Holtz ne s’y trompe pas lorsqu’elle lui propose de rejoindre la troupe de la Comédie-Française pour reprendre le rôle de Camille dans “On ne badine pas avec l’amour”. Au bout d’à peine deux ans et une dizaine de rôles (Ismène dans Antigone, Angélique dans Le Malade imaginaire, Elise dans L’Avare, Lulu dans L’Anniversaire) Marion ne peut résister à l’appel de Norma Jeane. “J’aime trop ce rôle, je ne pouvais pas refuser, même si c’était une décision difficile à prendre”, déclare-t-elle dans son immense sourire… Pas de doute, son avenir est tout tracé. Un avenir qu’elle doit à sa bonne étoile, certes, mais d’abord et surtout à son énorme talent!

 

Saadia Bentaieb

Interview de Saadia Bentaïeb de la Compagnie Louis Brouillard

Interview de Saadia Bentaïeb – 30 septembre 2015
Actuellement en tournée sur la toute nouvelle création de Joël Pommerat Ça ira (1) – Fin de Louis

Rencontre avec Saadia Bentaïeb l’un des “membres historiques” d’une famille un peu spéciale : la Compagnie Louis Brouillard de Joël Pommerat

Elle est l’une des “plus anciennes de la bande”. Depuis près d’une vingtaine d’années, elle forme aux côtés de Ruth Olaizola, Marie Piemontese et Agnès Berthon le noyau dur de l’équipe. Actuellement en tournée avec Ça ira (1) – Fin de Louis, Saadia Bentaïeb se dévoile un peu, au gré de “l’interview 12 coups” : elle nous parle de ses débuts dans le métier, de sa rencontre avec Joël Pommerat et de la toute dernière création de celui-ci sur la Révolution française.

Frederic Franck

Interview de Frédéric Franck, “l’homme de l’ombre”…

Refuser de tomber dans la médiocrité. Ne jamais cesser de faire confiance aux artistes. Garder comme ligne de conduite son amour des auteurs. Les chercher, toujours et partout, ces artistes qu’il vénère. Se battre pour une certaine idée du théâtre. S’insurger contre toute idée de “caste” à l’intérieur de cette grande famille du théâtre. Se placer en-dehors des ridicules clivages entre public et privé. Rejeter avec véhémence les médias, les tenir en grande partie responsables de l’appauvrissement de l’offre culturelle.

Tout cela, Frédéric Franck le porte en lui. Et cette “révolte” nous percute d’autant plus qu’il l’exprime avec une infinie douceur. Oui, lorsqu’on rencontre ce grand homme de théâtre, on est frappé par son humilité, son extrême gentillesse, la délicatesse de son propos. On le sent presque mal à l’aise, tant il fuit les projecteurs et rechigne à parler de lui. Homme de l’ombre méconnu du grand public, il aurait cependant bien des raisons d’être fier de son parcours. Plus de trente ans après avoir débuté dans le métier, il dirige depuis 2012 le Théâtre de l’Œuvre dont on peut dire qu’il “dénote” dans le paysage des théâtres parisiens. Il est également co-directeur du Théâtre Montansier de Versailles, dans le cadre d’une délégation de service public. Troisième casquette : il dirige depuis 2002 la Société Indépendante Contemporaine (SIC) société de diffusion de spectacles, qui lui permet de soutenir quelques théâtres parisiens dont il partage “l’ambition particulière”.

Le point de départ de sa saison 2015-2016 au Théâtre de l’Œuvre : l’idée d’inviter des metteurs en scène renommés familiers des plateaux gigantesques. Proposer à chacun de “peindre une miniature” sur le petit plateau historique du Théâtre de l’Œuvre. Le résultat : Serge Merlin dirigé par André Engel dans Le Réformateur, à l’affiche jusqu’au 11 octobre. Lui succèderont : Gérard Desarthe pour sa mise en scène de Home, Alain Françon pour sa mise en scène de Qui a peur de Virginia Woolf? et Peter Stein pour sa proposition de La Dernière bande de Beckett. Avouez que cette programmation alléchante donne envie de soutenir pour longtemps ce lieu tellement unique et de remercier sincèrement Frédéric Franck pour sa “désobéissance au marché” !

 

INTERVIEW

 

Les Sonnets de Shakespeare, le Roi Lear et Ciel mon placard!

Revue de presse du 30 septembre 2015

 

 

1. Les Sonnets de Shakespeare, version rock au Théâtre de la Bastille :

– “Au menu de ce voyage lyrique et théâtral, une vingtaine de sonnets-chansons (adaptés par Pascal Collin) qui épousent tous les genres.– Les Echos

– “La Krief, qui est une des actrices les plus singulières et inventives de notre paysage théâtral, a rencontré les Sonnets de Shakespeare en 1999.” – Le Monde

– “Norah Krief y propose une version rock de Shakespeare en chantant certains de ses Sonnets. Gonflé.“- Marianne

– “Petit OTNI (Objet Théâtral Non Identifié) musical de cette rentrée conçu par Richard Brunel et Frédéric Fresson, “Les Sonnets de Shakespeare“, à mi-chemin entre le concert théâtralisé et le spectacle chanté, déroutent tout autant qu’il séduisent.“- Froggy’s Delight

– “Entretien avec Nora Krief.“- Un fauteuil pour l’orchestre

 

2. Michel Aumont époustouflant Roi Lear au Théâtre de la Madeleine :

– “Michel Aumont rayonne en roi brisé, dont l’arrogance folle se meut en folie douce.“- Les Echos

– “Après Le Roi Lear vu par Olivier Py, voilà la vision de Jean-Luc Revol : Lear est un nabab du cinéma qui, en 1929, renonce à son empire et le transmet à ses filles.” – Théâtral Magazine

– “Et puis il y a la très belle composition de Michel Aumont, qui file doucement vers la sénilité.“- Scene Web

– “Michel Aumont est toujours aussi charismatique. On sent sa passion intacte, lui pour qui le théâtre est le seul endroit où on se sent légitime, où on a l’impression d’exister.“- Les Trois Coups

– “Cette adaptation très réussie fait entendre la tragédie dans toute son acuité et frappe d’abord par l’équilibre remarquablement cohérent des relations.“- La Terrasse

 

3. Reprise au Théâtre du Rond-Point de Ciel mon placard!:

– “Nicole Genovese procède dans cet opus qu’elle qualifie d'”ignominie culturelle” – attention humour à effet kiss kool – au dynamitage en règle du théâtre de boulevard dont elle connaît bien les codes et les thématiques.“- Froggy’s Delight

– “La pièce rend grâce aux genres de mauvaise réputation. Une machine à jouer efficace et ludique, bien servie par la jeune Nicole Genovese et ses camarades endiablés.” – France Inter

– “Pastiche irrévérencieux plus que ricanant, du boulevard abordé par un chemin de traverse, Ciel ! mon placard tient la route.“- Libération

– “Pastiche irrévérencieux plus que ricanant, du boulevard abordé par un chemin de traverse, Ciel ! mon placard tient la route. La Terrasse

– “Il y en a qui font des copies pirates, Nicole Genovese est une femme pirate qui fait de l’original à partir de copies“- Rue89-le blog

Interview de Marion Moinet, costumière de théâtre

Interview de Marion Moinet – Septembre 2015

 

Marion Moinet

 

Marion Moinet a choisi le métier de costumière de théâtre presque par hasard et elle est “tombée” dedans par passion.
Retrouvez toute son actualité sur son site marionmoinet.com.